C’est parce que l’homme a eu besoin de se réchauffer
Que la lumière tendre, câline et chaude des flammes
A pu être présente après avoir de ses forces puisé
Ce qui reste de son corps et de son âme.
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C’est parce que l’homme a eu besoin de vivre,
Agréablement,
Que de sédentaire il eut la notion à son esprit.
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C’est parce que le naturel de l’homme est le sentiment
Qu’il a pris conscience de l’autre et de lui-même.
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Alors je t’ai appelé : humanité !
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Bribe de toi-même qui coule dans tes veines
Morceau de cœur spirituel qui s’infiltre et filtre pour la pudeur.
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Parce que la vie a besoin d’un réconfort
Alors on pense encore à toi, tous parmi tant d’autres
Qui, espérant, prient le dieu de l’athéisme.
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Ardeur d’une chaleur humaine,
Alors tu es arrivée, et j’ai lu ton matricule
Identité révélée, simple mais parfois oubliée
Tu es toujours là : amitié.